come as you are – nirvana
Du coup, hop hop hop, c’est la grève illimitée. Tout comme José Bové. A la petite différence bien sûr qu’il n’est pas question de se priver de manger, oh là ça non, sûrement pas. Au contraire même.
Je mange.
Tout plein de sandwiches.
(A ce sujet, merci Stéphanie)
(Et par conséquent, merci Philippe)
(Il y a toujours un Philippe quelque part dans ma vie)
(Bref c’est un peu énigmatique mais c’est fait exprès)
(Faut avoir lu des Cornichons au Chocolat)
(Sinon la connexion ne se fait pas)
(Fin de parenthèse).
Si je pouvais m’inventer un métier, je peux vous dire qu’il est tout trouvé. Toute la journée je m’installerais derrière le comptoir d’un endroit à moi, hyper amerloque genre c’est pas du Warhol mais ça y ressemble, et je fabriquerais des sandwiches. What a kiff. Il y aurait un coin avec des consoles, et puis de la musique, des magazines. Des sandwiches au poulet et d’autres au beurre de cacahuètes, et puis des [hoagies->http://en.wikipedia.org/wiki/Hoagie] et des hamburgers, des oeufs brouillés et des toasts, des jambons-beurre.
(Oui mais le financement, l’URSSAF, les contrôles sanitaires, la taxe professionnelle, la paperasse, quelle angoisse).
Pendant ce temps là au royaume, ce matin Marge avait allumé le chauffage dans ma piaule. Et nous avons reçu cette liste hallucinante qui en même temps m’enlève un gros mal de tête.
Ahem.
Sortie du rêve, grève ou pas grève, demain les affaires reprennent.
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