Cette journée astrocenter m’avait dit beurk, résultat j’ai décidé d’arrêter l’astrologie, fuck, après je ne sais plus qui de l’oeuf ou la poule, après je ne sais plus quoi de moi, j’attends, les drames, les catastrophes, la journée toute moche, ou réciproquement, et puis il y a eu ces gens qui m’ont bassinée {han tu sais eux ils m’ont piqué l’idée que j’ai eue, il y a super longtemps, sont en retard du ciboulot, sérieux, et ouais, c’est un peu grâce à moi le développement durable, potentiellement, blabla}, oh my gode, welcome to loose-city et ses litres de dépit, ces gens qui entretiennent l’idée qu’ils ont raté leur vie, mais tant pis, ils s’accrochent au passé, les utopies, la flamme des vingt ans, quand tout à coup tu te crois fort et grand, alors que globalement à l’échelle de Saturne avec un peu de chance tu pourras prétendre au microcosmique, et encore, dans le plus bienveillant des cas, tu vois. Sans parler du site web qui t’affiche en temps réél la mort et la naissance all around the world, allez hop, stop.
Je sature de frustration, je sature de raison, je sature de travailler à me poser, ranger, regarder, évaluer, réfléchir à l’idée, décider, débroussailler, je veux les bases, celles que je considère comme normales, le minimum, l’univers, le cadre.
Ouaip.
Plein le cul d’expectiver, oh yeah, maintenant je veux du concret, de l’assurance, maintenant je veux la paix, l’équilibre, les vieux dossiers dans un coin du grenier, et le conditionnel passé au subjonctif du futur.
C’est une question de jours, vous me direz.
Je sais.
Mais c’est gonflant.
Rapport à mon phobisme concernant tout ce qui est pas sciences.
Probablement.
croix de bois croix de fer plus jamais un tel enfer.
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