where is my mind – pixies
Cette envie de rangement. Tous ces sacs poubelles que je descends, en prévision du déménagement – ou bien c’est un ménage de printemps, une espèce de coup de vent.
{Je n’ai aucune excuse.}
C’est bien ça qui m’emmerde d’ailleurs, c’est tout à fait la raison pour laquelle je suis tellement lapidaire. AH AH. Telle est prise qui croyait prendre n’est-ce pas.
Et.
En même temps si tu changes un tout petit peu la perspective, hey, regarde. Juste, regarde.
Et admets que ça te plaît. Cette totale absence de projets. Le vide astral, les insomnies matinales. Je n’ai plus besoin de réveil, est-ce que ça n’est pas juste formidable d’avoir envie de se lever le matin. L’énormité du machin. Sans déconner, il y a pas quinze jours j’étais un peu déprimée par toutes ces choses qu’il fallait attendre pour avancer
{(et ça n’a pas changé, by the way. objectivement c’est même pire. et ouais…)}
bref j’ai pris un coup de fouet. Ou plutôt deux ou trois uppercuts en pleine gueule, pour dire vrai. Mmmmh.
C’est un peu dur à digérer.
Mais.
C’est un retour aux fondamentaux et d’ailleurs, whatever.
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