En même temps comment je pourrais m’abandonner, n’est-ce pas, je ne peux m’abandonner qu’à toi – ou alors vivre les jours qui suivent au milieu des fous, vivre avec ceux qui ont renoncé à tout, jusqu’à ce que mort s’en suive – c’est à dire que je n’ai pas vraiment d’alternative.

Voilà le paradoxe, je crois.

Et tout est comme ça. Depuis l’oeuf et la poule, on s’en sort pas.

En attendant c’est le grand retour de ma période junk food. Après deux mois à biberonner des soupes, j’ai découvert à deux pas du Royaume les rois du sandwich américain mamma mia. Si je m’écoutais je ne mangerais plus que ça. Et des Egg Mc Muffin sur la route du tram, mais le matin ça compte pas, le gras le pain et tout ça.
{dixit Elle et Biba}
{quand je pense que Voici nous plombe le suspense de la Nouvelle Star}
{quel scandale}
{et la réélection de Balkany !}
{un cauchemard, sans déconner…}
{heureusement, j’ai la tête dans le guidon}
{je peux mettre ailleurs ma concentration}
Bref. Puisque je ne m’abandonne pas, {times moved to} c’est le moment de m’occuper de moi.

De faire tout ce que j’ai envie, quoi.

Comme acheter cet appartement-je-me-vois-déjà-dedans, aujourd’hui.

Youpiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !