don’t speak – no doubt
– hey, l’aimant, si dès que je m’en vais tu récupères l’air… toi même tu triches, toi même tu mens, s’il est vrai qu’t’es attirant c’est pas très déroutant, car c’est moi qu’on di’amant…
– la mine je n’en veux guère, répondit l’aimant, il ne s’agit pas de croiser le fer, la mine je vous la laisse, et les diamants avec, tenez, prenez, laissez-moi m’envoler pour le vrai…
– le vrai, ahah, se gausse l’amour, tout à coup s’emmêlant, ne sais-tu pas que le vrai ment s’il sème sans présent ? autant, suspends ton vol et assieds-toi, ahah.
ahem.
mais à part ça.
question consonnes, manque une voyelle.
dites.
z’attendez quoi pour aller à l’eau, mes gars ? […]}
C’est enfin l’hiver. L’automne, la pluie, la nuit. J’ai envie de bougies et de veillées jusqu’à minuit, du silence, des rues presque vides et hiberner, plateaux télé, Léon me serine du matin au soir qu’il ne pourra jamais attendre jusqu’à Noël pour que ça soit Noël oh my gode et bientôt le sapin, la crèche, et bientôt aller là-bas et voir tous ces gens vieillis et se dire qu’à courir vers l’issue je n’ai pas regardé la route et puis réaliser qu’à présent je suis posée là, moi, et tout à coup de fil en aiguille j’avale mes frites et j’écoute cette fille et putain.
Ouais.
Je commence à n’avoir plus peur de rien.
Ou plutôt.
Je commence à me dire qu’il est temps de perspectiver le champ de mes possibles, un brin.
(Ce qui n’est pas tout à fait pareil)
(Ahem)
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