another brick – fake
manque singulièrement de magie
Je pro-jette ma vie dans un roman. Han. Cette leçon vaut bien (d’en faire) un fromage sans doute, encore heureux qu’elle n’ait pas durée si longtemps. Je suis gavée d’à-peu-près, l’artisanat et mon cul c’est du poulet, le bricolage à la petite semaine, putain, et à la fois pourquoi c’est si important, bordel, c’est fou la place que tout à coup ça prend, la symptômologie conventionnelle, hypocondriaque et tête à claques, et puis la douleur des maux, veines comprimées, naseaux en colère, la migraine, je suis furieuse, comme tu dis, enragée de théorie, foutue par terre par le plus tarte des adversaires, ah ah, il y a des combats auxquels il est résolument inutile de se condamner, peut-être que c’était le truc à réaliser.
L’apprentissage n’en finit pas. Affronter, affronter, regarder, les faits, l’effet, niania, travailler à identifier les causes, les origines, suivre le fil, connecter les paquets, then proceed. Je nettoie. Je dérouille.
Bref.
Pour résumer, je crois que j’ai les hormones en syndrome pré-menstruel. Et l’humeur avec.
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