Je me blesse trop souvent. Bien trop souvent. Et il paraît que c’est rassurant, que je n’aie pas réussi à lâcher prise à ce point.
Well. Merde.
Moi par exemple, ça m’arrangerait bien, d’en avoir rien à branler, jamais.
Mais c’est pas vrai. Je me veux la plus parfaite en empathie, la meilleure amie, et hop je m’oublie, et hop j’en veux à la terre entière, à toi, à moi, à l’univers.
Je ne comprends rien. Et ça me désespère.
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