J’envoie un mail. On me répond. Demande de précisions.
Hop reply. Et là.
{«enfin bref, tant mieux si vous travaillez affectivement sur le bug !»}
Oh my gode, il faut que je fasse attention, dites, en ce moment c’est la grande braderie du lapsus apparemment. Et voilà qu’il me dit qu’il est {troublé} because il a testé toutes les configs et que c’est pas du tout possible que le mute ne marche pas chez moi blabla… Arf. Ahem. Silence ! Shut up, everyone. J’ai annulé le dîner, pas envie de bouger. Je préfère boire des bières avec elle, et ici tant qu’à faire. On doit se rappeler en fin de journée.
Cela dit, je constate que je n’ai pas assez de tiroirs. Du tout. C’est trié, empilé, et même classé par couleur, mais j’ai aucune idée de ce qui n’a pas de place, en tous cas ici, en tous cas maintenant. Je suis perplexe. Dans mon own personal feng-shui à moi que j’ai, je vous prie de croire que tout partirait à la poubelle. Hop, hop, exit les vieilles affaires et les trucs trop portés. A moi la vie nouvelle et les habits qui font le moine, enfin, vous voyez l’idée. Se débarrasser du passé et envisager un futur gavé de nouveautés. Seulement il faut arrêter avec la pensée magique, me & myself on est d’accord. Le fantasme, ça va deux minutes. Et…
Et merde ! Ca recommence. Bordel.
{J’ai aucune idée de ce qui n’a pas de place.} Il manque des mots. Genre *de ce que je vais faire de ce qui*.
Fuckin myself.
J’ai pas fini de pédaler dans la marmelade, on dirait.
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