Pile, poil, tout pareil.
On dirait que je suis perdue dans la forêt, et que je sème des cailloux partout, pour tester la résonnance, et choisir la route la plus bandante. Pffff.
Je m’épuise. Je fatigue. Suis difficile à suivre, et lourde à porter. Et tout le monde me dit d’arrêter de me débattre dans des toiles d’araignées. Faudrait laisser filer. Se laisser aller. Juste regarder.
Je crois que je m’ennuie.
Alors n’importe quoi. Alors je fais n’importe quoi. Me cogne à toutes les vitres, j’en casse aussi, je fais des noeuds, je cherche la merde, et je la fouille, et je prédis l’avenir, même. Same rengaine, again.
Comme dirait Neige, faut pas s’étonner de se brûler quand on fout la main dans le feu tout à fait volontairement, en prime. Ni de se prendre les cendres dans la gueule quand tu souffles face au vent, et que tu veux tout en même temps.
Bref.
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