Chronique #728 : Do not even Think !

24 janvier 2006 0 Permalink 0
love is all around – the troggs
so everything turn, turn, turn
Bien.

J’étais entrain d’écrire une note où je disais, en substance, que bla bla elle est pas belle la vie, bla bla depuis que je me fonds dans l’instant du présent, et toussa, et toussa, et puis paf.

Fausse manip.

Tout perdu d’un seul coup.

A croire que ce truc devait s’envoler, et puis disparaître. Mais pas se déposer. Ou, en tous cas, pas de cette manière là. Ou alors, quelqu’un a envoûté mes doigts. Anyway.

Ce que je sais, c’est que j’ai arrêté de réfléchir. Je prends les choses au premier degré. Telles qu’elles. Avec une espèce d’air emmerveillé. C’est tellement pas compliqué.

{«On m’appelle Simplet, l’innocent du village,

Doux comme un agnelet, je mène la vie d’un sage,
Chantant, gaiement, moi je vis de l’air du temps,
[…]
Mon bonheur est complet, on m’appelle Simplet…»}

Pfiou. C’est bien, si vous saviez. Ne plus porter la responsabilité de ce qui arrive, ou pas. Ne pas comprendre l’instant tout entier. Donner, prendre, donner, prendre, et recommencer. Me suis jamais connue comme ça, je crois. Aussi tranquille. Autant assurée, quelle que soit l’alternative. Tout me plait. Tout. J’aime le Coca, mais si c’est du Pepsi, j’aime aussi. Han. Ouais. C’est vachement bien.

Je ne pense plus à rien.

naissance de M., disparition de P., faut-il toujours un départ contre une arrivée, dans cette famille ?

No Comments Yet.

Leave a Reply

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *