love is all – roger glover
sounds as some sigmund gimmick
C’est une habitude à prendre, je crois. Un réflexe à acquérir, jusqu’à ce que ça devienne automatique, inconscient, un peu comme la marche, ou le vélo, ou même la lecture. Il faut du temps. Beaucoup. Il faut des watts, et de l’énergie, et garder la cap, un peu comme en mer, d’ailleurs, un peu comme le navigateur, qui dix fois par jour déplie la carte, et trace des lignes, pour observer les angles, et corrige la route, rapport aux vents, et aux dérivations des courants. Ho ho. Du calme. Je plaide non coupable. I’m not in, votre honneur. Je suis confuse. Speakless. Il faut se taire, oui, oui, mieux vaut la fermer, quand ça devient trop difficile, obscur, mélangé. Il faut prendre le temps d’analyser, pour déblayer. Question de loyauté, again and again and again.
Je crois que j’ai hâte d’y retourner. Je crois qu’il y a encore beaucoup de choses à dire, et plein de trucs à regarder.
Pour éviter les méprises.
Je ne suis pas un warrior.
Pas encore.
C’est vexant, probablement.
Et alors ?
J’ai oublié la table, hier. Vas savoir pourquoi.
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