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Ce qui compte, c’est le résultat.
Vous en conviendrez comme moi.
Ce qui compte, c’est que ce soir je suis riche de ces mots là pour moi, dans la retenue, dans l’imprévisible, dans l’effet à retardement. Ces dernières semaines ont été rares, presque du domaine de la science-fiction, option je tourne dans une série, et ça pourrait bien être les contes de la crypte en plus marrant, la série en question, il y a des symboles et des coïncidences comme s’il en pleuvait des trombes, il y a des abréactions en série with no pause between tracks, et parfois j’ai du mal à suivre, même, et parfois je réalise, oui, je réalise la chance que j’ai eu de vivre cette aventure là, avec ELLE, la chance que j’ai eu de la rencontrer là-bas, et qu’elle ait décidé d’avoir confiance en moi. Il était temps, je veux dire. Non, parce que j’imagine, sinon. Dieu du ciel. Plutôt crever, tiens. Anyway. Je lui dois la liberté, quoi qu’on en dise. Arf, curieux cette manie que j’ai de contrer tous les arguments d’avance, dès que j’aborde le dossier moi-ma-psy-le-transfert. Comme si je prenais sa défense, par avance. J’aime pas qu’on l’abîme, mon histoire. La magie, l’alchimie. Les mots clés. Les décompressions, les contre-pieds. La fascination pour cette force de l’esprit, l’inconscient. Haute-voltige.
Une trace.
Merci.
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