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Arf.
Ben voyons. C’est pas comme si c’était very easy d’aller trouver plus palpitant que les trucs qui se (dé)trament since I began to talk. Le comique de répétitions. La réalité qui se fout de ma gueule, les effets boomerangs à tous les étages, les croisements signalétiques et tout le bordel habituel, comme si j’approchais du point crucial, au coeur de l’épisode actuel, comme si je bouclais la boucle avant de partir, perchée à un niveau de conscience inhabituel, plus le temps de me poser de questions, je fonce et je ne regarde pas derrière, que c’est bon, la liberté, que c’est léger. Il est doué, mon scénariste. Ils ont du virer l’autre, celui d’avant la clinique, ils ont du lui dire qu’ils étaient pas contents, mais alors pas du tout, voyez-vous, de la tournure que prenaient les événements. Il était temps. Mais passons. J’en étais où ? Ah oui. Ecrire des livres, et trouver quoi mettre dedans. The big challenge. On s’en fout, en même temps. C’est pas très important.
L’heure est aux rebondissements.
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