
C’est triste un peu, comme avant.
time to land, bud’
Mais autrement. C’est pas triste parce que ça renforce. Comme un truc qui s’épaissit, tu vois l’image ? A chaque fois les fils se gainent et c’est marrant de parler de fils à nouveau. Putain d’associations libres. Va falloir dénouer. Des fois je pense que tu pourrais viser le podium au championnat des allusions sans illusions. C’est marrant de chercher la métaphore hein et ça évite de plonger le nez dans le fumier. Transfert de l’objet, abracadabra. Bref va falloir dénouer et c’est pour ça que c’est pas triste comme avant. Besoin d’aftermath. Dégriser. Voir les couleurs. Dissocier, réintégrer. Un truc que t’as appris à faire avec ELLE. Un truc magique. Un truc vachement difficile aussi et c’est pas comme si ça allait être monday tuesday happydays toutes les semaines t’es prévenue, mais c’est tellement bien cette chose aussi. Comme une drogue.
Alors t’es triste et ça va pas forcément être très marrant le jet-lag et ça va manquer fort mais t’as pris des vitamines pour la route on dirait bien, pour tenir jusqu’à la prochaine sortie et résister aux vents contraires. Ça va rouler tout seul.
Tu retournes entre-parenthèses.
Abréaction, sur tous les murs j’écris ton nom… tout ceci mérite bien un peu de poésie je trouve les filles (hé hé)… et MERCI… Hug & Kisses !
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