
Bref. T’es malade et comme d’habitude tu manques d’air alors y a tes poumons qui trinquent et tu peux plus respirer et c’est un putain de cercle vicieux en fait, un peu comme ce truc de l’oeuf ou la poule. Les mises en scènes te fatiguent et tu n’as plus d’énergie pour faire semblant de galoper crinière au vent ni pour te fâcher très fort et c’est pas comme si ça allait révolutionner janvier oh la la non dis-donc, la théorie du chaos c’est du dulby-surround pour mini-poney ™ en quête de sensations imprévues, du conte de fées à la petite semaine. Une vie pour rien – une vie à observer les papillons de nuits se débattre sous les flash-laser-lights d’un jour sans fin -, qu’est-ce que ça peut bien foutre, qu’est-ce que ça peut changer au cycle de la vie du lion king ? Quedalle, ah ah. Toi et eux, bah vous êtes une théorie de l’espèce, et rien de mieux. T’as beau jouer à la maligne en haut de ton perchoir hein, l’épilogue c’est toujours whatever. Quoi qu’il arrive. Cela dit c’est plutôt rassurant. Ou pas. En tous cas ça te fait marrer. Et c’est déjà ça.
T’es malade et t’aimerais plutôt perdre la parole, à choisir. Une bonne vieille extinction des voix. Silence on tourne. Aftermath – intérieur nuit.
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