Au secours, j’appelle au secours je me réveille et j’appelle au secours, je pleure je pleure mais est-ce que c’est possible d’avoir tant de larmes à verser mais est-ce que c’est envisageable d’arrêter de regarder ce putain de nombril et de croire un tout petit peu juste un peu… Je sature, abandon qui tourne en rond, compulsion toujours les mêmes conneries et je reproduis, le pire c’est que je reproduis, j’abandonne Léon… n’entre pas dans ma danse…

Perrette et le pot au lait. J’ai appris que ça n’était pas un rêve… je m’en suis mordu les lèvres… j’avais mordu à l’hameçon comme dirait P.

Je suis une sale connasse.

«Le nez dans le guidon, un tour de roue doit impérativement succéder à l’autre pour nous empêcher de tomber, sans que jamais une orientation, un horizon, un sens, enfin, soit contemplé et visé»
S.E.

J’ai fait la maligne. J’ai voulu rentrer dans la vie, et j’ai posé mon vélo pour voir si c’était possible. Bien joué tiens… l’idée du siècle. Girouette, je regarde partout mais je ne vois rien. Juste cette image d’océan déchaîné, un laser juste pour moi, et là je pourrais crier, CRIER… prendre des embruns dans la tronche et CRIER. BRAMER comme tous ces cerfs dans les forêts ici en ce moment… Et arrêter toutes ces conneries, ne plus sentir monter ces crises compulsives ces obsessions spasmophilie parano toujours pire toujours pire se saborder et pleurnicher et tourner en rond – bien fait pour ta gueule bien fait pour ta gueule non mais tu croyais quoi ?

Bon et puis ça me gonfle et c’est le cas de le dire, côté balance. Enfin c’est accessoire. Bon et puis je vais lire Blaise Pascal tiens. Bon et puis MERCI (des fois on a le droit d’utiliser des mots interdits) pour les mails Cartapucette.