borderline – madonna
Ahem.
Cela dit, à l’heure où j’écris ces lignes, je ne vois pas comment je vais me sortir de tout ce bordel, oulah, je suis pas douée pour démêler les ficelles, moi, faire illusion c’est plus facile, n’est-ce pas, Guy Drut back to the CIO et la marmotte aux fourneaux.
Mais bref.
Ça, c’est fait.
J’ai mis un nom sur l’émotion. Ma déception. Ce truc si dur à assumer, si difficile à exprimer, après. C’est pas du tout ce que je croyais. C’est pas du tout comme ça avait été programmé, c’est pas du tout suffisant, c’est pas du tout assez, c’est plus grand, plus absorbant. C’est pas moins bien, c’est pas mieux, c’est pas pareil, c’est un univers parallèlle, c’est tout ce que j’apprends, c’est tout ce que je comprends, c’est animal, c’est naturel. Biologique, archaïque. L’instinct de survie, celle de l’espèce. Je me souviens de son regard, et puis la première nuit, deux jours plus tard, j’avais mis tant d’espoir. Dies irae, dies illa, sauve-moi. N’importe quoi.
Je l’ai abandonné ce jour là.
(comme moi, comme moi, comme moi)
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