Chronique #750 : Au Rayon Confitures

13 février 2006 0 Permalink 0
francky brown
une fois n’est pas coutume !
Il est gaucher.
{(des fois, je me la raconte)}
Me faut admettre que, ça y est, c’est presque fait.
{(l’avenir de la mécanique)}
Je suis libre.

C’est arrivé ce matin. Ses mains, et puis les miennes. Sa voix. Pas envie de répondre, moi. Dire quoi. Mentir ? Sûrement pas. Sûrement plus. Pas dans cette vie là.
{(dans l’autre, c’est un pronostic vital)}
Je veux l’essence. Je veux les sens. Ce qui vient du ventre, comme dit M.

Je me suis trouvée. Tout à coup, sans m’y attendre. Rien de prévu, rien de projeté. Je me suis vue. {Ah ouais}. Et pour quoi faire, dis-moi, pourquoi tu ferais ça. Pourquoi tu te forcerais à. N’importe quoi.

Si ici je m’oublie, alors quoi.
Si ici je m’oublie, ahah.
Il m’a appris ça.
{(listen)}
Il ne veut rien que je ne veux lui donner.
Aucun intérêt.
Pas besoin.
{(welcome)}
Les faits, juste les faits.
Juste l’effet.
Ouais.
{(confusion des genres)}
Question d’odeur.
Je connais.
{(ça fait plus rien)}
Ça me plait.

Je suis heureuse. En accord parfait. J’ai affronté.
{(oh my gode)}
Je n’ai pas eu mal. Jamais. Jamais ce trou si habituel. Jamais coupable. Je n’ai pas eu mal, sauf lorsque je ne me suis pas écoutée.
{(parce qu’il fallait)}
{(parce que t’étais venue pour ça, tu crois quoi)}
Je n’ai pas eu mal, quand elle a rameuté le ban et l’arrière ban de la cavalerie.
{(question de confiance)}
Je n’ai pas eu mal, quand ça a chauffé.
{(tu penses. mwah. what a joie)
(juste du bonheur)
(mon premier, c’est désir)}

L’horizon s’éclairçit, on dirait.
{(mêle toi de tes fesses)}
Y a pas de raison de se forcer.
{(come on & let it be)}
J’aime.

pas d’image, ici c’est music only.

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