C’était bien, ce week-end, jusqu’à dimanche matin. Le train et ses mystères, ma dernière nuit là-bas, où j’ai si curieusement bien dormi, with my lovely cat, some Neige on saturday, trop court mais on fera mieux dans quinze jours, re-train avec the little brother, pas plus prévu que moi, mais tellement plus détaché, à la fois… Le dîner, les éternels débats, et Léon qui jubile à la playstation, pas un pour le battre, fatalement, la prune, ça attaque… Me couche et ça tourne, ça rêve, me réveille, sans plus savoir où je suis, bizarre, bizarre, but je suis bien, oui, very bien, les parfums s’évaporent mais reste l’essence, les sens… N. rapporte les croissants et fait coquer les oeufs, j’apprends qu’elles se sont mis à plein, et avec tous les moyens, pour attirer l’animal, mais peine perdue, hin, hin… et puis ça devient plus compliqué. Je fais quoi, ici. Presque pénible. Train du retour agaçant, pluie battante, enfant fatigué, chat boudeur.
C’est quoi, ce bordel ??
C’est rien. C’est habituel.
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