l'air du brésilien (la vie parisienne) - dario moreno (offenbach cover) parfois il suffit de de(ux)mander Elle mène une {petite enquête} (cocotte). La société, la vie des femmes, c'est quoi les préoccupations, c'est quoi qu'il y a à reprocher, c'est quoi les espoirs, qu'est-ce qu'il faudrait changer. Pour faciliter ma vie il faudrait qu'il y ait moins d'affect. Il faudrait des délimitations mieux marquées, ne pas me confondre à la société et prendre ce qu'il y a à prendre, sans y ajouter des litres de sentimentalités, penser nature et ne pas croire que c'est réclamé, que je vais me faire gronder, ne ...

another brick - fake il y a des jours où la pluiemanque singulièrement de magie Pas besoin d'étudier les biorythmes à fond ni rien de tout ça, je suis agacée et c'est tout, je râle mais je m'en fous, fuck you, mon optimisme résolu en prend un coup, bouh, bah, pour l'enchantement y a encore besoin d'un peu de temps, mécaniquement c'est pas pour maintenant, but faut pas s'en faire, hein, et d'ailleurs je ne m'en fais pas, oh, mais quelle expression parfaitement débile que celle là, tiens, je ne me fais pas de mouron, ben non, c'est juste pénible, c'est juste ...

you came - kim wilde turning my life around C'est marrant comme il y a des dates qui parfois m'entraînent vers des souvenirs précis, visuels, corporels and even charnels. Des éléments marquants, les happenings, ce autour de quoi s'étoffe l'espace, le fil. L'émotion, mettre un nom, la mémoire, et puis les sensations, presque palpables, l'épiderme, comme en dehors de la farce quotidienne, éloigné des conventions habituelles, bref, il y a ces moments qui comme des photographies dans un album me transportent dans les paysages qu'ils traversaient, à l'époque, et je tire les grandes lignes, résolutions d'équations, la logique, la forge des convictions. Je ...

stay with me - étienne daho aujourd'hui, je suis une autruche Ce soir, j'ai de la peine pour elle. {Tu dois être soulagée, ma vieille. Tu t'es retrouvée. Ou alors tu es devenue folle, complet. Le côté obscur de la force. Tous les fils sont coupés, et tu ne fais plus que voler. Electron libre, disjonctée. Quelle empathie, si tu savais. Et j'entends tous ces gens parler. Et j'entends tous ces gens t'oublier, pour seulement se souvenir de ce que tu as fait. Ils disent, tu n'as pas de remords. Han. Ben voyons. Comme si tu avais eu le choix, toi. Comme ...

angie - rolling stones thru rose colored glasses Cette journée astrocenter m'avait dit beurk, résultat j'ai décidé d'arrêter l'astrologie, fuck, après je ne sais plus qui de l'oeuf ou la poule, après je ne sais plus quoi de moi, j'attends, les drames, les catastrophes, la journée toute moche, ou réciproquement, et puis il y a eu ces gens qui m'ont bassinée {han tu sais eux ils m'ont piqué l'idée que j'ai eue, il y a super longtemps, sont en retard du ciboulot, sérieux, et ouais, c'est un peu grâce à moi le développement durable, potentiellement, blabla}, oh my gode, welcome to loose-city ...

lea - toto pas de pitié pour les croissants C'est un jour bizarre. Comme mémoration. Lui, et lui aussi, et puis l'abolition de la peine de mort. Je n'aime pas les superstitions, mais bon. Hier, l'hébergeur d'ici a tout viandé, complet. J'ai perdu les images, et il y a d'autres trucs de cassés probablement, faudrait regarder, mais j'ai pas le temps. C'est la première fois que ça arrive. Jamais je n'avais eu les éternels problèmes du client mécontent, de ceux qui vont pourrir leur fournisseur d'injures, non, jamais. Et puis là vlan. Hier. Comme par hasard. Du coup j'hésite. Aujourd'hui. Peut-être je vais passer une ...

lex - ratatat so you want a rise ? {On arrive ainsi à contourner l'écueil des résistances, qui ne sont autres que des résistances individuelles au changement.} Ah ça. Pour ça. Welcome to my world, afterall. La théorie du chaos. Les ailes de papillons, les tsunamis, le genre de chose qui par exemple va mener Ferris Bueller à bramer {Twist and Shout} au milieu des chars de la parade annuelle de l'immigration germano-américaine en plein coeur de Chicago, alors qu'il avait simplement prévu de s'offrir un day-off, à la base. Un repos du guerrier, des vacances, un genre de jour où tu pauses ...

dis-lui toi que je t'aime - vanessa paradis & étienne daho mais c'est pas là ou t'as bu turam ? Il me la joue cador du web, il a tout vu, tout fait, les mains dans le cambouis et jamais il ne dormait, pour un peu il te dit qu'il a traversé l'Atlantique un câble réseau entre les dents, tu vois, pour t'amener le RJ45 en direct live, ouais, carrément, l'homme qui valait trois milliards c'est un peu lui but ah lala les revers de fortune, n'est-ce pas, m'en parlez-pas. Pfffff. N'importe quoi. Ils sont sympas, à part ça. Ils font pas ...

le dîner - bénabar anything that can go wrong, will La tempête, j'aurais dû me méfier. Les gens qui s'envolent, les branches qui s'affolent, youpla. Partout ça claque. Grosse fatigue. Putain. La vie, c'est épuisant. Quel rêve ça serait de se laisser porter par le vent. Mais comment. Comment on fait quand il faudrait être partout en même temps. Sur tous les fronts, dans toutes les boîtes. On dirait une phase maniaque de bipolaire, dès que le téléphone sonne c'est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle, dès que je réponds ça crée la confusion, oh lala, je suis d'accord ...

fuck was i - jenny owen youngs chantez, compagnons, dans la nuit la Liberté nous écoute... J'ai découvert une nouvelle façon d'être de mauvaise humeur. Oui. Absolument, comme dirait Léon quand nous jouons à ni oui, ni non. La façon sale gosse enfant gâtée, vous savez, le genre à peine supportable qui boude à sa fête d'anniversaire, pffff, d'façons c'est nul y a même pas de brioche ni de nutella, ouais, ce genre là, j'ai tout ce que je veux mais voyez, je veux mieux. Plus t'y crois plus ça marche, n'est-ce pas, dans la vie y a un moment où t'as ...