Il me semble que j’ai de tout temps eu besoin d’un guide qui ne soit pas trop débile, qui sache me parler et que les pièces du puzzle dessinent un paysage raisonnable – a minima.
Sans doute que ça manquait un peu trop à la maison, je crois.
Bref.
Des guides, j’en ai vu plusieurs, beaucoup. Chacun m’a permis de regarder la scène sous un autre angle. Mais alors : c’est toujours la même scène, voyez-vous. La même scène qui tourne en boucle, comme un disque rayé, et peu importe d’où tu la regardes, finalement.
Combien de temps ?
Hier soir, toute ma gratitude pour Evrard.
Et ce soir, c’était la liberté, et cette sensation que je n’avais pas besoin d’être ici pour que les gens s’amusent, mais que j’aimais être là parce que je les aime tous.
Et qu’ils vont me manquer.
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