precious – depeche mode
Quand tout ce que t’as connu dans la vie comme liaison, c’est la fusion. Le mélange. Quand tu ne sais tellement pas qui tu es que le désir est muet, complètement. Quand tu sais te nourrir comme l’enfant sauvage, quand tu ne manques jamais de rien mais qu’il n’y a jamais aucun sens – c’est juste un tourbillon, des pulsions. Quand tu sais même pas comment ça marche autrement, quand tu donnes tout mais que ça n’est jamais toi fatalement puisque tu n’es pas là, rappelle-toi. Quand les morceaux sont épars et qu’il faut gymnastiquer sans discontinuer – ça, c’est à moi, je crois, mais ça, sans doute pas, etc. Quand il a manqué les règles et les bases, quand même une lionne, un moustique ou un colibri sait pondre une descendance sans hésiter à la chasser à peine quelques mois après…
Breffff.
Le poker m’apprends a accepter le bluff. A dissocier. A ne jamais me préoccuper du résultat, à accepter la variance, et à me concentrer sur moi. Ce que j’ai à dire avec mes cartes, tout ça. Au fil du temps j’ai appris la distance.
Laisse l’autre là où il est. Oh yeah.
Amazing.
C’est toujours comme si j’étais une espèce de jeune Padawan, bien des années après mon tour – han lala mais pourquoi, pourquoi, POURQUOI, faut-il tant d’années pour intégrer tout ça ? POURQUOI je n’ai jamais eu le mode d’emploi, pourquoi personne ne sait, jamais, et pourquoi faut-il galérer des années, parfois, pour comprendre et se comprendre, putain, sans déconner, quel temps gaspillé… – anyway. Je suis ainsi faite qu’il m’est nécessaire de déterrer des formules magiques, comme pour compléter le niveau, ma vie dans un jeu vidéo, level completed – reach to next, babe.
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