Je crois que le flower-power, j’aurais adoré. Je suis une grande fan du trip communauté. Le truc où tout le monde vit ensemble mais chacun dans sa bulle pour respecter l’intimité, le truc où y a tout le temps quelqu’un à qui parler, le truc où il y a toujours quelqu’un avec qui se coucher, olé.

Je n’ai pas l’instinct de propriété.

Et je sais rassembler.
Alors l’Internet, vous pensez.
Quelle aubaine.
Il me le fallait.
J’ai changé d’ordi, j’ai acheté un modem.
C’était ça où tout plaquer et prendre la route, déambuler, s’arrêter aux hasards des rencontres, genre le trip routard-qui-fait-le-tour-du-monde, mais dommage ou pas j’ai jamais osé.
Alors l’Internet, rendez-vous compte.
Même plus besoin de bouger pour élargir le cercle, même plus à se casser le cul pour faire son trou je ne sais où – à propos je ne verrais plus l’ostéo. C’est fini. Je suis définitivement réparée, il paraît. J’l’aurais bien échangé contre mon psy, n’empêche. Mais bref.

Once again, Toulouse m’appelle.

L’Internet a encore frappé, héhé.