just like honey - the jesus & mary chain some ones to remember

iceblink luck - cocteau twins c'est le jeu, ma pauvre Lucette ! Because of my new obédience to the walk-on-the-wild-side, ouais, mais aussi parce que je suis very capricieuse, il faut bien l'avouer, et potentiellement millionnaire, oui, oui, c'est ça qu'il y a de bien avec la française des jeux, vous savez, hop, hop, un ticket dans la poche de ta veste et maybe, qui sait, demain t'auras même plus besoin de *si* pour mettre Paris en bouteille, hin, hin, bref, à cause de tout ça, et par le pouvoir d'un esprit résolument mal tourné, me voilà à la tête d'un studio ...

oh my god - kaiser chiefs I know you put a lot into this one... {«Sometimes we have the absolute certainty that there's something inside us that's so hideous and monstrous that if we ever search it out we won't be able to stand looking at it. But it's when we're willing to come face to face with that demon that we face the angel.»H.S.} Encore une nuit, encore un rêve, et là il y a une baraque pas croyable, le genre que tu construis en songe, fatalement, parce qu'en vrai c'est absolument pas réalisable, une maison si extraordinaire, même qu'il y a ...

blankest year - nada surf le chat lui aussi dort les yeux fermés What a rêve étrange, once again. Déjà évaporé, cela dit, because j'ai, ahem, dormi depuis. N'empêche. Ca tourne toujours autour du même everlasting dilemme actuel. L'orgueil, la putain de fierté qui m'a blindée toutes ces années, et la quête, la féminité, l'identité, les mirages, la déception, le renoncement, l'élimination, par recoupements... et l'envie, oh oui, l'envie de faire sans, autrement, but comment, ouais, comment, moi je m'en fous, après tout, mais visiblement c'est assez peu crédible, dixit myself, et son cortège de oui, mais... Moi je m'en fous, mais ...

here comes santa claus - elvis presley faut pas l'dire au Père Noël ! Me demande parfois où j'ai la tête. Sans déconner. Doit pas être sur les épaules, la mienne. Tout à coup, au milieu du bruit de la fête, il a été là. {La prochaine fois que tu viens, appelle-moi. Anytime. Trois mois, deux ans, comme tu voudras.} J'ai envie de rire. Juste rire. Ta peau contre ma peau, et rire, rire encore, juste parce que c'est un jeu, juste parce qu'il n'y a rien à gagner, ni encore moins à perdre. Je veux ton oxygène. Ta musique. Les cadeaux que tu ne ...

old stars - jack the ripper (dedicated to Mela) patati, patata J'ai transféré la musique dans l'IPod, emballé les Yu-Gi-Stuff, et constaté encore cette année à quel point je suis navrante question paquets cadeaux, pire qu'un garçon disait Madame H. du CM1B - j'ai une mémoire redoutable, hin, hin -, pour les valises on verra demain matin, because tonight on fait la fête en famille d'accueil, et puis après on prendra la route, Léon et moi, sans doute pour la dernière fois dans cette bagnole-bulle, et puis on ira là-bas, pas foutu les pieds depuis dix-huit mois, et on emmène Domino-le-chat à ...

i melt with you - nouvelle vague (modern english) sunday morning, praise the dawning Les rires des enfants me tirent du sommeil. Ils coursent le chat dans le salon avec leurs baguettes magiques, ils envoient des sorts, {flipendo} ah ah, {wingardium leviosa}. Je m'extrais du rêve. Bizarre, ce rêve. Le décor c'est une longue classe, ouverte par un cloître sur une largeur, et il y a l'espace de l'autre côté, de l'herbe, de la terre, et quand on a le dos au mur à gauche il y a une estrade, un bureau en hauteur dont provient la voix de celle qui coordonne ...

playground love - air «hurricane season ends today» Ce soir, il a fallu intervenir. Léon devenait dingue, et on était à moins d'une minute de l'instant où la manette de sa GameC allait venir fracasser l'écran de la télé, et tout faire péter. Parce que figurez-vous qu'«ils» trichent. Oui, «Ils». Sonic, Nintenbip et toute la conspiration internationale montée autour de mon brugnon. Et c'est même pas la peine d'oser tenter une explication avec diagramme à l'appui, du genre la console, mon grand, elle fait ce que tu lui dis de faire, uniquement, il n'y a aucun ennemi caché dedans, personne qui délibérément ...

tes états d'âme éric - luna parker et fuck la médecine, mais c'est un détail {«Puisque vous avez l'habitude et l'envie de tout contrôler, lâchez, cette semaine, un peu de lest. Ne visez pas la perfection, ne demandez pas aux autres d'être comme vous, mais soyez tolérants, bienveillants envers les autres, et tout sera plus facile. (...) Ainsi, ne resassez pas les vieilles histoires, ne cherchez pas dans le passé ce qui peut vous motiver pour l'avenir. Faites confiance.»} Je lis ça chez Pam. Arf. C'est le frère de Caroline Alexandre, lui. N'est-ce pas Madame Wizman. M'en fous. J'ai déposé mon cerveau à la consigne ...