Je ne marche plus au psychodrame. C’est presque instinctif, d’ailleurs. C’est après que je réalise. Ah ouais. Avant. Avant, j’aurais cédé au chantage. La confusion des sentiments. L’imagination au service de l’émotion. Eponger la culpabilité, et la planquer. Fuck off, c’est terminé. J’en ai rien à foutre sa race, what a liberté.
Je ne suis pas coupable.
Ni responsable de ses névroses à elle, soit dit en passant.
V. me dit qu’elle doit s’emmerder dans sa vie. Me suis jamais posé la question. Han. Lui, il aménage les intérieurs, et il plante ses racines. Mais elle. C’est quoi, son trip, ses passions ? Je sais pas. M. me parle de mariage de raison. Surprenant. Ouaip. C’est pas very agréable, comme idée, mais c’est pas con… C’est même assez cohérent… Y a pas d’étincelles.
Dimanche, j’ai vu de mes yeux vus. La perversité, et les grosses ficelles. La compulsion, l’obsession. Le mensonge, la manipulation. A quel point tous les moyens sont bons, même les plus insupportables. Même utiliser Léon. La laisserai pas lui instiller le doute. C’est hors de question. Lundi, je lui ai parlé d’égale à égale. Jouons les cartes sur table.
Plus rien ne m’inquiète.
Ahem.
Reste à transformer l’essai en face à face.
(et soutenir le regard)
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