i’m your man – leonard cohen
(show must go on)
Me demande si je fais exprès, si j’en joue, si je le sais. Ahem. Tu crois quoi. Me souviens de lui. Et de lui aussi. Me rappelle d’elle. Et puis les dimanches, à la radio, quand il fallait tenir jusqu’au matin à raconter des conneries. Et puis les coups de fil interminables, c’est toi qui raccroche en premier, non, vas-y, toi d’abord, allez, s’il te plait… Les premières impressions, le charme, la chaleur, l’émotion. Et puis la lecture, la nuit, et son souffle dans mon oreille. Les chuchotements, le relâchement, les résonnances, les rires, les mots choisis, l’érotisme, le timbre, les silences, tu dors, non, si, je te réveille, mmmmhh, oui.
C’est pas la première fois. Evidemment pas. Tu crois quoi…
En même temps. Je m’attendais à quoi ?
trop fatiguée pour penser. et voilà le lutin qui rapplique. oh my gode.
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