Because of my new obédience to the walk-on-the-wild-side, ouais, mais aussi parce que je suis very capricieuse, il faut bien l’avouer, et potentiellement millionnaire, oui, oui, c’est ça qu’il y a de bien avec la française des jeux, vous savez, hop, hop, un ticket dans la poche de ta veste et maybe, qui sait, demain t’auras même plus besoin de *si* pour mettre Paris en bouteille, hin, hin, bref, à cause de tout ça, et par le pouvoir d’un esprit résolument mal tourné, me voilà à la tête d’un studio cinématographique, et son cortège de stars déjantées, et ses scénaristes sous acides, et ses décors à la Charlie Chaplin, et me voilà à réaliser des burger movies, qu’il faut monter, découper, tester, mwah, mwah, mwah, encore un jeu qui jelesay (jelesay, jelesay), ne passera pas l’année. A qui il reste moins de dix heures pour m’impressionner, by the way. But who dares, héhé.
Et à part ça ?
A part ça, j’ai rendez-vous avec Anna, but j’y arrive pas.
Et ça fait chier. Ouais. J’aimerais bien arrêter de résister, pour voir. J’aimerais bien que chaque mot ne soit pas si difficile, si compliqué. J’aimerais ne pas garder. Et délivrer.
A part ça, Janvier va cartonner. C’est partout inscrit dans le calendrier. Le 3. Le 7. Le 8. Le 11. Le 14. Sans compter les horoscopes. Ah Ah. Et pas la peine de copier, hein, c’est pas ces numéros là que j’ai joués. Tant qu’à faire confiance à la chance, autant flasher. N’est-ce pas. Tralala.
A part ça, m’en voulez pas, but le devoir m’appelle… Cindy Slit, celle-en-qui-tous-les-golden-espoirs-sont-fondés, menace de signer une exclusivité avec le studio concurrent. Houla. Pakestion. Deux, trois coups de fil à passer, enfin, j’vous laisse imaginer.
Happy New Year, tous.
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