H.S.}
Encore une nuit, encore un rêve, et là il y a une baraque pas croyable, le genre que tu construis en songe, fatalement, parce qu’en vrai c’est absolument pas réalisable, une maison si extraordinaire, même qu’il y a une piscine, dedans, et une autre, dehors, qui ressemble à une cascade, et puis les pièces sont immenses, on n’en fait pas le tour si facilement, et cette baraque appartient à ma marraine, perdue de vue depuis longtemps, une femme très aristocrate, et à la fois non – elle fume des gitanes maïs, c’est bien la preuve, hin hin -, dans le rêve elle est bien plus accessible, dans le rêve elle vient d’avoir un nouvel enfant, une petite fille toute ronde avec des yeux si bleus que c’en est fascinant, une petite fille de même pas un an qu’on vient présenter à sa mère et à ceux qui sont présents, la virtual team, la psyK team, et je balance dans les baffles une émission de radio qu’on a réalisée, et il y a toute la musique que j’écoute en ce moment, entrecoupée de morceaux de divan, et M. est là, bien évidemment, d’ailleurs il faut que je la raccompagne avant minuit moins le quart, parce qu’après c’est plus possible de rentrer dans son immeuble, tu comprends, ils ont mis un système en place, et même si tu habites là, pas moyen de franchir la porte…
Suis en vacances de psy, mais visiblement le message n’est pas passé pour tout le monde…! Vais pas me plaindre, en même temps. J’adore rêver. Délester. Libérer. Etc. Juste que ça sorte, et basta. Pas besoin d’interpréter. Oh ça non. Pas envie. Du tout.
Que c’est bon, l’autarcie.
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