What a rêve étrange, once again. Déjà évaporé, cela dit, because j’ai, ahem, dormi depuis. N’empêche. Ca tourne toujours autour du même everlasting dilemme actuel. L’orgueil, la putain de fierté qui m’a blindée toutes ces années, et la quête, la féminité, l’identité, les mirages, la déception, le renoncement, l’élimination, par recoupements… et l’envie, oh oui, l’envie de faire sans, autrement, but comment, ouais, comment, moi je m’en fous, après tout, mais visiblement c’est assez peu crédible, dixit myself, et son cortège de oui, mais… Moi je m’en fous, mais c’est comme si beaucoup trop ne s’en foutaient pas du tout, oh just tell me why…. Reste pas grand chose, à présent, à part le prénom, à part un leïtmotiv, {mais alors c’est qui, Caroline, mais alors, où est-elle, c’est elle, ah bon, ah…?!!}

Arf.

Caroline. Question psychogénéalomachin, j’ai tapé dans le mille. Oh my gode… But bref. Qu’est-ce qui m’a pris de raconter à ma mère les trucs qu’on s’était dit, elle et moi, elle, the little cousine, en plein tremblement de terre, et moi, reine de la psyK tant que ça ne me concerne pas. Je croyais quoi ? Que tout à coup, han ha, on allait respecter le sceau de la confidence, que tout à coup, oh hey, on allait négliger le nombril, et s’empathiser, ah, ah, mécanisme à la con, j’attends d’elle ce dont je ne suis pas capable, moi… sabordage… trahison… il est beau, le résultat… Me servira de leçon, maybe, j’espère, j’espère, pouvoir réaliser un jour qu’il est vain de perpétrer les traditions.