Plutôt que d’aller à la piscine, because it is not envisageable, la piscine, I am very sorry Madame Doc mais je ne peux pas. Nous sommes en décembre, remember, et il fait froid, et la piscine c’est loin de chez moi, et je déteste les piscines municipales, et puis c’est ouvert à des horaires pas du tout possible à caser dans la vie que j’ai, et puis j’ai pas envie, là, inutile de lister des prétextes à deux balles, je n’ai pas l’ombre d’un début de motivation susceptible de se modifier en solide intention d’enfiler les sublimes bottes que je n’ai pas, pour aller gambader des kilomètres, puisqu’il parait en prime qu’il faut que je marche, histoire de me plonger dans le chlore et de muscler mon corps, avec pour objectif de stopper la métamorphose actuelle qui semble me dessiner un avenir sombre, profilé hydrocéphale du troisième millénaire. Merde, à la fin. La question n’est pas du tout là et je le sais fort bien. Pas la peine de stresser. Pas la peine de se décourager. Il faut dé-com-pre-sser. Whatever will be, will be, que sera, sera, etc. Ou alors qu’on me file les super-pouvoirs de Mary Poppins, et plus vite que ça.
Bref.
Plutôt que de, j’ai foncé tête baissée dans ce que je sais faire le mieux quand il s’agit de migrer les minutes en heures façon j’ai pas vu le temps passer : ici, j’ai tout transformé. Mwaaaaaaaah. What a kiff. D’abord j’ai upgradé, sans filet. Just push the button, sans réfléchir. Une espèce de mise en danger. Et puis j’ai redécoré. I wanna be pop, I wanna be rock, I wanna be modern. J’ai rédigé des nouvelles reviews, des portraits. Fais le tri dans trois ans de chroniques. Collé ce fameux fil RSS que beaucoup d’entre vous me demandaient. Etc.
Et à part ça, j’ai arrêté de courir à vélo.
Today was a beautiful day off.
{Parfois, il y a des choses qui te traversent, et d’autres qui te rentrent dedans.}
Ouch.
Je veux te rentrer dedans, comment faire pour sortir des chemins de traverse.
C’est pas comme si c’était évident.
Même si je n’ai plus mal au dos.
Héhé.
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