L’image c’est un joli fil. Et puis costaud hein le fil. Inoxydable. Omniprésent. Soigneusement emmaillotté façon pelures d’oignon. T’es impressionnée. Admire un peu le travail. C’est bien la preuve que t’es capable de construire du solide des fois, malgré toi.

Un joli fil, donc. Qu’il faudrait suivre. Sans doute que ça aiderait à comprendre comment il s’attache et pourquoi c’est si difficile de le dénouer quand plus rien ne le retient pourtant. Sans doute qu’il faudrait y observer les transmissions de données et envisager des réorganisations logicielles sur l’autre extrémité considérablement mal programmée à aller s’accrocher à n’importe quel prototype pour y déverser du code source crypté en 64 bits dont l’origine remonte au basic or personne ne parle plus le langage par ici et c’est long pour trouver un traducteur assez pointu pour repérer les erreurs de points-virgules. Sans doute. Seulement tu ne peux pas savoir. Puisque t’as perdu le fil. Ah ah.

Bref il n’y a pas trente-six alternatives : faut dénuder ma grande.

Encore et encore.