
Réveil difficile.
so long farewell
Ma mère, dotée as usual d’un abyssinal manque de délicatesse (de lucidité) semble vouloir me faire payer une nouvelle addition, et moi je parle sans réfléchir. Comme si j’avais la mémoire courte. Comme si je ne savais pas qu’il vaut mieux se taire à huit heures du mat, depuis toutes ces années. Je pleure de rage. Peu importe.
Je pars, tout à l’heure je pars.
Portez-vous bien… moi, ça va aller (évidemment)
déconnexion…
Leave a Reply